« La vocation, c’est d’avoir pour métier sa passion » Stendhal
L’Antiquité est ma passion depuis 45 ans.
En 1930 mon grand-père créa la galerie dans un bel Hôtel Particulier de la rue des Forges à Dijon.
Animé par le même goût pour les objets d’art de qualité, mon père lui succèdera et développera son activité auprès d’une clientèle essentiellement locale lui reconnaissant expertise et sérieux.
Après cinq années de formation auprès de Commissaires-Priseurs et d’Experts d’Art à Paris, j’ai repris la Galerie en 1975.
Mon activité se concentre autour des Meubles, Objets d’Art et Peintures des XVIIe et XVIIIe Siècle. J’attache une grande importance à l’authenticité et à l’état des antiquités que je propose à la vente au magasin à Dijon, lors de Salons d’antiquaires et dans le catalogue de ce site. Je me charge de la remise en état auprès des meilleurs spécialistes qui travaillent dans le respect du meuble ou de l’objet.
Depuis 22 ans, Denis Favier est mon fidèle collaborateur. Sa passion pour les Antiquités, son goût pour la décoration, tout comme son sens de l’accueil, font de la Galerie un lieu chaleureux.
C’est avec grand plaisir qu’il vous renseignera sur ces bois de Rose, de Violette ou d’Amarante d’une commode ou d’une petite table chiffonnière, sur la dorure originelle d’une glace du XVIIe ou XVIIIe.
Vous pourrez également discuter de tableaux flamands, italiens ou français susceptibles de vous intéresser ou d’une pièce en porcelaine.
Nous nous attachons à participer à divers Salons des Antiquaires à travers la France, et hors de nos frontières, ce qui nous permet d’échanger dans un lieu dédié aux Objets d’Art avec des amateurs et des professionnels. Nous vous invitons à venir nous rencontrer que ce soit à Dijon, Tournus, Lyon ou Namur.
Nous espérons avoir prochainement l’occasion de faire votre connaissance pour partager notre passion avec vous.
Edifié au milieu du XVe siècle par Jean Morel, échevin et capitaine de la ville de Dijon et sa femme Simone Sauvegrain, nourrice de Charles Le Téméraire, il fut racheté au XVIe Siècle, date à laquelle fut construit au fond de la cour un deuxième bâtiment à la façade richement décorée et pleinement Renaissance (de Style François 1er).
Visitée par Victor Hugo, Louis Boulanger et Sainte-Beuve en 1828, un poème fait l’éloge de cette cour :